Au-dessus du boitier se trouvent des boutons de réglage, et 4 bornes de branchement. La borne négative porte l’inscription « com », et les trois autres bornes sont des bornes positives, mentionnant l’intensité maximale du courant pouvant être mesurées avec chacune d’entre elles. Le bouton central permet de calibrer la borne 1 µA – 100 mA, et les boutons poussoirs permettent, de gauche à droite, de mettre en marche l’appareil, de vérifier l’état des piles, et d’inverser la polarité si le montage a été effectué à l’envers.
La calculatrice HP-35 a été conçue pour tenir dans la poche d’une chemise, c’est pourquoi le boîtier rectangulaire est plus fin d’un côté que de l’autre. Elle possède 35 touches et un affichage LED capable d’afficher une quinzaine de chiffres. Au-delà, le passage à la notation scientifique est automatique.
L’appareil se compose d’une chambre circulaire au centre de laquelle un porte-échantillon est vissé. Le porte-échantillon est un tube en verre dans lequel on insère la poudre à analyser ou bien un petit monocristal. Un film photographique est plaqué sur l’ensemble de la paroi interne de la chambre. Deux tubes en forme de cônes sont également visibles : ce sont des collimateurs. Les rayons X rentrent par le collimateur de gauche et celui de droite est un puits fermé par du plomb, pour piéger les rayons X qui ne sont pas diffractés et éviter qu’ils n’impriment à nouveau le film.
Le galvanomètre de type Deprez-d’Arsonval est aussi appelé galvanomètre à cadre mobile. Entre les branches d’un aimant de type fer à cheval est placé un cylindre sur lequel se trouve une bobine de fil conducteur : le cadre. Sur ce cadre est fixé une aiguille, et le tout est maintenu en suspension par un fil de torsion.
Les lunettes stéréoscopiques sont équipées de quatre miroirs inclinables et de deux lentilles. Deux images sont placées sous les lunettes lorsqu’elles sont dépliées. Les miroirs permettent d’envoyer une image différente dans chaque œil et les lentilles, appelées oculaires, permettent de visualiser une image nette.
Le luxmètre est constitué d’un boîtier sur lequel est branchée une sonde qui capte la lumière. Le boîtier est muni d’un cadran gradué qui permet de lire la quantité de lumière mesurée.
Le lux est l’unité de mesure désignant la quantité de lumière reçue par une surface. 1 lux est défini comme l’éclairement d’une surface de 1m2 éclairée par une bougie située à 1 mètre de distance. Par une nuit de pleine lune, l’éclairement n’est que de 0.5 lux alors que par une journée de plein soleil, il peut atteindre 100 000 lux.
Un microscope optique est constitué de deux lentilles placées de part et d’autre d’un tube optique. La première, l’objectif, est située au-dessus du plateau sur lequel les échantillons sont placés. La seconde, l’oculaire, est celle qui est la plus proche de l’œil de l’observateur.
Un microtome est principalement constitué d’une lame et d’un porte-objet. Selon le type de microtome, la lame peut être fixe ou mobile et inversement pour le porte-objet.
Le microtome est un instrument qui permet de réaliser des coupes fines d’un objet organique pour le rendre assez fin et transparent pour être traversé par la lumière. Pour cela, les échantillons doivent faire entre 0,5 et 5 µm d’épaisseur (1 µm = 0,001 mm). Il pourra alors être observé au microscope.
Le HP-75C est un mini-ordinateur portable. Il se présente sous la forme d’un clavier avec un écran LCD (cristaux liquides), qui peut afficher jusqu’à 32 caractères. Parmi les 65 touches, trois permettent de changer de mode de fonctionnement : le mode calendrier, le mode rendez-vous et le mode traitement de texte.
Des cartes magnétiques, préprogrammées ou permettant d’enregistrer un programme, peuvent être insérées en bas à droite de l’appareil.
Cet œil est ce qu’on appelle un modèle clastique, c’est à dire démontable. Il est accompagné d’un glossaire pour en identifier les différents éléments, et est fabriqué en papier mâché. L’échelle de cette maquette est 4/1. Elle a été conçue pour l’enseignement de l’anatomie.
Le photomultiplicateur sert à rendre détectable un signal lumineux très faible en utilisant l’effet photoélectrique (principe des panneaux solaires). Il est composé d’un cône de réception avec une plaque métallique (photocathode), de demi-cylindres métalliques (les dynodes) et d’une anode à l’autre extrémité. Le tout est sous vide.